Spirituo-matérialiste
C'est un grand défi, dans cette vie, de concilier le spirituel et le matériel. Enfin c'en est un pour moi.
Je suis très très branchée sur l'invisible, l'énergétique, l'âme du monde. Ça m'a toujours passionnée. Je pense que j'ai commencé vers 7 ans à me poser les questions existentielles de "qui suis-je ? D'où viens-je ? Dans quel état j'erre ?" (ahahah).
Du coup j'ai lancé ma quête des réponses à ces questions assez tôt, et elles prennent toujours une grande place dans ma vie. J'essaye des trucs, je vis des expériences qui secouent un peu parfois, je forge ma foi, ma spiritualité à partir de mes rencontres et de mes lectures, je fais évoluer tout ça avec mes années d'âge qui s'accumulent… C'est un aspect fondamental de ma vie.
Quand j'étais jeune, je n'étais jamais vraiment présente à ce que je faisais. Mon corps était là, faisait ce qu'on attendait de lui, et mon esprit était ailleurs. Dans les souvenirs ou dans les rêves, mais ailleurs. J'ai appris par la force des choses à vivre l'ici et maintenant. Si vous avez encore du mal, faites trois enfants à deux ans d'écart chacun, et vous verrez que vous n'aurez plus trop le choix : un bébé, un enfant normal (genre pas trop moi enfant, quoi), ça vit dans le présent à 100%. Et tu peux difficilement l'ignorer, parce qu'il va faire tout ce qui est en son pouvoir pour t'amener à résoudre son problème immédiat. Le Kho Lanta de l'instant présent. Imparable.
Et avec le temps, grâce à eux, j'ai fait ce beau chemin important : celui de l'ancrage.
Sauf qu'il faut concilier les deux. Il y a eu des moments où je me suis laissée complètement bouffer par le matériel en laissant de côté mon penchant spirituel, et ça n'allait pas du tout non plus.
Je crois que je suis venue sur terre pour expérimenter le matériel. Je ne crois pas que vivre perchée en relation avec les anges 24/24 soit la réponse à mon expérience d'incarnation (non, parce qu'à ce moment-là, autant ne pas s'incarner du tout, hein : les anges sont en relation bien plus directe dans l'entre-deux vies à mon avis). Je ne crois pas non plus que me déconnecter totalement de là d'où je viens soit une réponse envisageable non plus : s'incarner, ça secoue, ça blesse l'âme, même, d'un certain point de vue, et cette connexion supérieure nous est d'un très grand secours pour vivre ce qu'on a à vivre.
Tout est une question d'équilibre.
Ces derniers temps, je me sens plutôt bien équilibrée. Je navigue entre le tambour chamanique et des activités de marketing de réseau ou d'investissements immobilier qui peuvent sembler extrêmement matérialistes. Je navigue et surtout je porte mon matériel dans mon spirituel et vice-versa. Je mets l'un au service de l'autre. et je ressens un équilibre très agréable. Et j'ai le sentiment d'avoir passé un certain cap, rien que parce que je ressens ça.
Je ne suis pas dupe, hein. Il va bien y avoir quelques petites anicroches dans le système pour m'amener à grandir encore un peu plus. Je me souviens que c'est le but ultime de ma vie sur terre : grandir. Et je garde en tête une notion très importante à mes yeux : ne jamais croire qu'on est arrivés. Le jour où je serai "arrivée", sera le jour où je retournerai d'où je viens…
Je suis très très branchée sur l'invisible, l'énergétique, l'âme du monde. Ça m'a toujours passionnée. Je pense que j'ai commencé vers 7 ans à me poser les questions existentielles de "qui suis-je ? D'où viens-je ? Dans quel état j'erre ?" (ahahah).
Du coup j'ai lancé ma quête des réponses à ces questions assez tôt, et elles prennent toujours une grande place dans ma vie. J'essaye des trucs, je vis des expériences qui secouent un peu parfois, je forge ma foi, ma spiritualité à partir de mes rencontres et de mes lectures, je fais évoluer tout ça avec mes années d'âge qui s'accumulent… C'est un aspect fondamental de ma vie.
Quand j'étais jeune, je n'étais jamais vraiment présente à ce que je faisais. Mon corps était là, faisait ce qu'on attendait de lui, et mon esprit était ailleurs. Dans les souvenirs ou dans les rêves, mais ailleurs. J'ai appris par la force des choses à vivre l'ici et maintenant. Si vous avez encore du mal, faites trois enfants à deux ans d'écart chacun, et vous verrez que vous n'aurez plus trop le choix : un bébé, un enfant normal (genre pas trop moi enfant, quoi), ça vit dans le présent à 100%. Et tu peux difficilement l'ignorer, parce qu'il va faire tout ce qui est en son pouvoir pour t'amener à résoudre son problème immédiat. Le Kho Lanta de l'instant présent. Imparable.
Et avec le temps, grâce à eux, j'ai fait ce beau chemin important : celui de l'ancrage.
Sauf qu'il faut concilier les deux. Il y a eu des moments où je me suis laissée complètement bouffer par le matériel en laissant de côté mon penchant spirituel, et ça n'allait pas du tout non plus.
Je crois que je suis venue sur terre pour expérimenter le matériel. Je ne crois pas que vivre perchée en relation avec les anges 24/24 soit la réponse à mon expérience d'incarnation (non, parce qu'à ce moment-là, autant ne pas s'incarner du tout, hein : les anges sont en relation bien plus directe dans l'entre-deux vies à mon avis). Je ne crois pas non plus que me déconnecter totalement de là d'où je viens soit une réponse envisageable non plus : s'incarner, ça secoue, ça blesse l'âme, même, d'un certain point de vue, et cette connexion supérieure nous est d'un très grand secours pour vivre ce qu'on a à vivre.
Tout est une question d'équilibre.
Ces derniers temps, je me sens plutôt bien équilibrée. Je navigue entre le tambour chamanique et des activités de marketing de réseau ou d'investissements immobilier qui peuvent sembler extrêmement matérialistes. Je navigue et surtout je porte mon matériel dans mon spirituel et vice-versa. Je mets l'un au service de l'autre. et je ressens un équilibre très agréable. Et j'ai le sentiment d'avoir passé un certain cap, rien que parce que je ressens ça.
Je ne suis pas dupe, hein. Il va bien y avoir quelques petites anicroches dans le système pour m'amener à grandir encore un peu plus. Je me souviens que c'est le but ultime de ma vie sur terre : grandir. Et je garde en tête une notion très importante à mes yeux : ne jamais croire qu'on est arrivés. Le jour où je serai "arrivée", sera le jour où je retournerai d'où je viens…
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